Perché au sommet de la foret immergée, il guette depuis plusieurs années. Parfois je n'entends que son cri, comme un rire étranglé, qui porte loin. Il me faut attendre le soir et le presqu'hiver pour le saluer tant il ne m'aime qu'éloigné de lui ! Souvent lorsque je l'approche à couvert, mon pas bruit sur la digue et le fait fuir. Pas cette fois ! Le froid de février le confine près d'une mare, il m'attend. Quelques secondes. Et cela me comble.