Vers le vent

Cygne tuberculé   La LPO organise la 3è édition de son concours « Photo d’oiseau de l’année ». https://www.lpo.fr/qui-sommes-nous/toutes-nos-actualites/articles/actus-2023/photo-d-oiseau-de-l-annee-2023

Ail des ours   Une petite route bien droite traverse la foret de Hatten. De part et d’autre de la route, les parcelles sont délimitées par de petits canaux pour drainer la foret semi-immergée. Certaines parcelles sont comme des tourbières et leurs fleurs ne sont pas toujours accessibles. D’autres ont un sol argileux et retiennent l’eau en surface, leurs fleurs demeurent près des rives.   Cardamines des prés   C’est ici que je photographie nivéoles, renoncules des marais, ail des ours et cardamines des prés. Ce printemps est bercé par des pluies abondantes et le vaste marais est souvent inaccessible…   Cardamine des prés Ail des ours Populages des marais Cardamines des prés Cardamine des prés  

Stellaires   Tous en ce monde Sur la crête d'un enfer À contempler les fleurs !      Kobayashi Issa    Stellaires holostées Stellaire holostée Stellaires holostées  

Ail des ours   En foret de Leutenheim, l’heure est à l’ail des ours ! Un rayon de soleil a suffi pour me réveiller et me pousser vers la foret ! Les grands hêtres ont été coupés cet hiver et l’ail des ours n’aime pas les grandes clairières. Il préfère les zones entre ombre et lumière pour s‘épanouir en vastes tapis. Les fleurs que j’ai photographiées étaient disséminées et peu odorantes…   Ail des ours Ail des ours Ail des ours

Stellaire holostée   C’est un petit coin de foret près du village de Leutenheim. Hormis des bucherons et des vététistes, je n’y rencontre personne.   Anémone des bois   Les totomobiles passent à toute berzingue sur la petite route en Koenigsbruck et Leutenheim. Sans douté des cousins motorisés du lapin de cette chère Alice. Parfois, l’un d’entre eux me klaxonne, surpris qu’un gugusse tire le portrait de fleurs de talus sans importance. Rien de grave, ma vie est pleine de ces lumières végétales !   Anémone des bois Anémone des bois Ail des ours en boutons  

  Schaffhouse Au nord du village, les arbres sont en fleurs. Le Printemps, mois du blanc !   Schaffhouse Schaffhouse  

Cardamine des prés   La foret de Hatten est une foret semi-immergée. Traversée par de multiples canaux, c’est un vaste marais dont le sol argileux retient l’eau prisonnière en surface. En plusieurs endroits, l’argile y est exploitée. J’aime y observer et photographier cardamines, nivéoles, ail des ours, renoncules, anémones et champignons. En ce début avril, les cardamines ouvrent le bal…   Cardamine des prés Cardamine des prés Cardamine des prés  

  Fahrgiessen   Le Fahrgiessen est un bras mort du Rhin. Relié au Rhin canalisé par une petite écluse, son eau se déverse dans la rivière Sauer qui se déverse dans le Rhin en aval. Cette boucle permet d’amortir les crues sur une surface (la Réserve Naturelle du Delta de la Sauer) et de continuer d’immerger la foret alluviale qui borde le fleuve plutôt que d’inonder les terres cultivables et les zones habitées.    Fahrgiessen   Lorsque je suis arrivé en Alsace, le Fahrgiessen était entretenu par les pêcheurs de la Association locale. Aujourd’hui c’est le Conservatoire des Sites Naturels Alsaciens. Hormis le fait de planter de jolis panneaux ici et là, ce conservatoire n’a pas vraiment les moyens de ses ambitions.   Abeilles sauvages   Tandis que divers véhicules sillonnent sans vergogne le site de la Réserve de Munchhausen à quelques centaines de mètres plus au Nord, ou que les drones s’y ingénient à effrayer les oiseaux, le Fahrgiessen semble épar

  Quand héron fâché, lui toujours faire comme ça !   Depuis ma fenêtre, je regarde la friche. Un dimanche, un petit cul blanc a détalé. En semaine, les hérons ont pris la poudre d’escampette.   Stork Airlines   Mésange   Souvent, le ciel est parcouru par Stork Airlines. Parfois c’est un Dragon jaune et rouge.   Dragon 67   Petits culs blancs   Un dimanche encore, les chevreuils ont brouté sans cacher leur petit cul blanc.   Chevreuils  

  Épine noire J’ai été opéré de la cataracte de l’oeil gauche le 02 février puis de l’oeil droit le 09 mars. Pendant les premiers jours qui suivaient chaque opération, je ne pouvais pas porter mes lunettes. Il fallait quelques jours pour que ma vue s’adapte à l’implant : les verres se sont rapidement révélés inadaptés (surtout la partie basse sensée corriger la vue de près) me causant des vertiges et, parfois, des migraines. Pas ou peu de travail à l’ordinateur, pas de photos (la mise au point flirtant trop souvent avec le flou) Mais ce qui m’a causé le plus grand trouble est la lumière : j’ai eu rapidement la sensation d’un trop plein de lumière, de voir mieux les choses les plus éloignées et, lorsque j’ai pu chausser à nouveau mes lunettes, d’avoir des verres correcteurs trop puissants. Actuellement, je continue les soins 3 fois par jour à chaque œil. J’attends avec impatience mi-avril que ma vue soit stable pour changer de lunettes et reprendre une vie normale… Épine noire