Prêles des champs
Prêles des champs - 1 |
Au bord de la route forestière de Donauberg, j’ai rencontré ces prêles des champs. Auparavant, je les photographiais au bord de la route qui relie Forstfeld à Hatten, mais la circulation actuelle rend l’exercice dangereux.
Je ne vais pas évoquer les bienfaits de cette plante, je vous laisse effectuer vos propres recherches. Elle existe depuis l’ère primaire certes mais les photos datent d’une dizaine de jours…
Une autre variété, la prêle des eaux, colonise les fossés de la foret de Hatten. Je l’avais évoquée dans un billet de Philibellules en 2015. Je tenterai de nouveau de lui tirer le portrait si les moustiques-tigres me laissent en paix…
Prêle des champs - 1 |
Prêle des champs - 2 |
Prêles des champs - 2 |
Voir ou revoir :
Coucou Philippe,
RépondreSupprimerTu en as fait de très jolies photos.
Tu semble très très ennuyé avec les moustiques chez toi. Ici, il n'y en a pas encore en cette saison, et comme je ne laisse pas d'eau stagnante au refuge, ils sont assez rares en réalité.
Même la Citronnelle ne fonctionne pas ?
Bonne journée.
Bonjour Pascale.
SupprimerIl y a beaucoup d'eaux stagnantes ici : en foret, dans les forets alluviales du Rhin, dans les bras morts du Rhin. Ces eaux sont traitées chaque année par hélico ou à pied par des volontaires. La citronnelle, les bracelets que l'on trouve en pharmacie ne fonctionnent pas avec ma peau de diabétique. La seule solution : me balader avec ma femme qui les attire davantage ;-) mais c'est un peu cruel...
Très graphiques - on dirait une forêt de minarets, comme dans un conte des Mille et une nuits! Je suis moi aussi super sensible aux piqures de moustiques qui ne me laissent aucun répit! Ils savent reconnaître les "bonnes" personnes! :-)
RépondreSupprimerMerci Gine, en ce moment les moustiques mâles butinent l'ail des ours pendant que les femelles butinent le photographe ;-)
SupprimerTu vois je ne connaissais pas. Cela me fait penser un peu aux coprins Chevelus.
RépondreSupprimerBelle fin de semaine Philippe. Bises
C'est plus fin qu'un coprin, comme un doigt, et haut d'une quinzaine de centimètres.
SupprimerBon week-end Élisa.
Je ne connais pas du tout et je ne crois pas en avoir déjà vu ! je vais me renseigner !
RépondreSupprimerLes prêles aiment les zones humides.
SupprimerBonne soirée Véronique.
Des prêles, j'en ai plein mon terrain, car sableux et argileux, la galère !!!
RépondreSupprimerJ'ai même bâché un parterre pour ne plus les voir !!
Je préfère les voir en photos !!
Je ne savais pas que les prêles pouvaient pousser au jardin.
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