Mouettes de Manosque
Mouettes |
Lors de notre court passage à Manosque pour y remplacer le pare-brise de la voiture, nous avons flâné près de la zone artisanale et commerciale. Nous avons brièvement longé un petit canal.
C’est le refuge de dizaines de mouettes. Apparemment, nous n’étions pas les bienvenus et elles ont tournoyé dans le ciel jusqu’à notre départ… Promis, nous ne reviendrons plus !
Coucou. Manosque? ce n'est quand même pas tout proche de la mer. Que faisaient-elles là? Bises alpines.
RépondreSupprimerBonjour Dédé. Probablement des touristes comme nous ;-)
SupprimerCoucou Philippe,
RépondreSupprimerEn effet elles étaient nombreuses.
Tu ne penses pas qu'elle attendaient certainement quelque chose à manger ? Quand je vais me balader en bord de mer, dès qu'on sort le sandwich, elles font de même et elles attendent bel et bien des petits restes tombés au sol. Et même dans Montpellier, elles étaient assez insistantes les coquines.
Jolies ces photos.
Belle journée à toi
Bonjour Pascale. Nous n'avions rien à leur proposer, même pas une miette de tropézienne ;-)
SupprimerComme un ciel étoilé! Chez nous aussi, les goëlands s'installent dans les champs, au pied des alpes. Bonne journée!
RépondreSupprimerLe nombre était saisissant ! Bonne journée Gine.
SupprimerCoucou Philippe,
RépondreSupprimerDans ce beau ciel bleu c'est très beau. Une grande colonie et pourtant Manosque est dans les terres. N'y avait-il pas une décharge pas loin ?
Si un jour tu viens du côté de chez-moi, fais le moi savoir. Bisous de bonne journée
Bonjour Élisa. C'était près d'un canal EDF mais aucune décharge à l'horizon.
SupprimerQue de mouettes, c'est impressionnant ! Tes photos sont très belles, Philippe. :-)
RépondreSupprimerBelle fin de journée.
Merci Françoise, bonne soirée.
SupprimerBonjour Philippe.
RépondreSupprimerOn s'imagine que les mouettes ne se rencontrent qu'en bord de mer et pourtant, quand l'opportunité règne en maître l'animal sort de ses zones de confort.
Ce n'est pas banal et amusant de voir des mouettes là-bas.
Bises
Bonsoir Nathalie. C'est leur nombre qui nous a impressionné !
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