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Fleurs de falaises

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Lis martagon Pour l’amateur du crû, ces fleurs qui poussent à flanc de falaise ou sur des roches battues par le soleil et le vent n’ont peut-être rien d’exceptionnel. Pour les touristes que nous sommes, ces fleurs sont un éclat, une lumière dans un paysage minéral. Elles sont les bienvenues ! Non identifiée (Arabette tourette ?) Digitale jaune Coris jaune Cinéraire maritime Campanule des rochers   Sources d’identification : Flore du Verdon, un Parc en fleurs – Christophe Bonnet, Laurence Foucaut, Georges Rebuffel, Dominique Rombaut - Edisud/Parc naturel régional du Verdon Guide Delachaux des plantes par la couleur – Thomas Schauer, Claus Caspari – Delachaux et Niestlé

Les geais

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Geai   En début de matinée et souvent en fin d’après-midi, les geais se succédaient près des oliviers de notre gite. Certains juvéniles, piqués par la curiosité, n’hésitaient pas à s’approcher de la terrasse ombragée où nous prenions nos repas. Les pies, en nombre également, restaient à bonne distance, hors de portée de l’objectif. Les chants du loriot et de la huppe fasciée ont été entendus mais ces oiseaux sont restés invisibles. Geai Geai Geai

Vautours de la Clue de Carajuan

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Vautour fauve   Quittant Soleils, nous arrivons à la Clue de Carajuan. C’est une vallée étroite aux falaises immenses qui mène au Point Sublime et au village de Rougon. Là, un ballet de vautours fauves se déploie sous nos yeux. Nous sommes émerveillés face à leurs prouesses et leur vitesse ! Il y a peu de spots praticables et surs en ce lieu : à peine avais-je sorti le téléobjectif que les suceurs de focales arrivaient, prêts à m’envoyer dans le ravin pour garer leur chère totomobile ! Vautours fauves Vautour fauve Vautour fauve Vautour fauve Vautour fauve Voir ou revoir : Col d’Illoire  

Collet Barris

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Collet Barris Le Collet Barris est une pyramide que l’on admire depuis les Balcons de la Mescla au Sud de la route des Gorges du Verdon. Elle est parcourue par la Route des Crêtes à la sortie Est de La Palud qui rejoint le Chalet de La Maline pour revenir à La Palud. A ses pieds, le Sentier Blanc Martel longe le Verdon. C’est une montagne imposante qui côtoie les falaises et le chaos du Point Sublime. Face à cette masse, on se demande quelles forces incommensurables ont créé ces paysages !   Le Point Sublime depuis les tunnels du Fayet Le Verdon au pied du Collet Barris Le Verdon au pied du Collet Barris

Papillons des falaises

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Demi-deuil Lorsqu’on emprunte la route Nord des gorges du Verdon, il faut s’attendre à un flux important de véhicules. Les qui roulent vite, les qui se prennent des airs de Sébastien Loeb, les qui s’arrêtent sans crier gare, les qui vous collent au cul, les, les, les, bref ce n’est pas une route de tout repos ! Poser sa voiture, poursuivre à pied pour trouver le bon cadrage demande de l’attention, gare à celui qui s’abandonne à la rêverie, à l’admiration béate : les amateurs de Grand Thief Auto ne manquent pas dans les parages et lui rappelleront sans tarder les joies de l’épilation rapide et sans frais et les frayeurs dignes d’un grand 8. Voici pourquoi nous préférons cheminer sur la route Sud. Où s’arrêter pour admirer fleurs et papillons est encore possible, où longer le parapet de la route ne nous transforme pas en apprenti voltigeur. Combien de temps encore ? Tant qu’un grand nombre de touristes restera persuadé qu’ils prennent des risques à longer le Camp Militaire de Canjuers

Col d'Illoire

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Gorges du Verdon depuis le Col d'Illoire Nous partons tôt pour visiter les gorges du Verdon. Au lieu de parcourir la route Nord qui démarre à Moutiers-Sainte-Marie, passe par La Palud et finit à Castellane, nous commençons notre visite par Aiguines et le Col d’Illoire. Nous poursuivrons la route du Pont d’Artuby jusqu’à Trigance, puis Soleils pour rejoindre au retour la route classique. Nous préférons cette route moins fréquentée appelée Corniche Sublime qui longe le Camp Militaire de Canjuers. Il y a davantage d’occasions de s’émerveiller des fleurs et des papillons, des vertiges qu’offrent les gorges, sans craindre pour sa vie.    Vautour fauve Vautour fauve Vautour fauve Arrivés au Col d’Illoire, trois vautours fauves nous survolent. Ils viennent saluer le soleil dans une danse acrobatique et légère. Ils volent haut et n’ont aucune pitié pour le photographe qui tente de les immortaliser avec son zoom un peu lourd à bout de bras. Ils disparaissent comme ils étaie

Requêtes 2

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Quelques réponses Dans un précédent article, j’ai tenté de répondre aux requêtes adressées aux moteurs de recherche et qui ont conduit des internautes à s’égarer ici. Mon but n’est pas de les égarer davantage… Quoique ! Je vais poursuivre mes réponses aux requêtes les plus anciennes. A little bit of everything « les guérisseuses »: Que cherchait l’auteur de cette requête ? Un lien vers des femmes guérisseuses, des plantes médicinales ou des pierres guérisseuses ? Ce blog ne vous apportera pas de réponse. « fleur ile de brehat »: J’ai visité cette ile bretonne en 2004 et en 2015 et j’y avais fait de nombreuses photos, lui consacrant un article, Fleurs de Bréhat . Bréhat « meubles peints alsaciens »: Je ne connais pas cette tradition et je ne connais personne dans la famille de mon épouse alsacienne qui possède ce genre de mobilier. Je préfère vous orienter vers cet article, Meubles alsaciens régionaux « vent perdu » : Vent perdu est le nom d’un jeu de cartes relatif au manga Y